Principes et fondements – Régime sans FODMAP – Quizz FODMAPs – Qui a inventé le terme « FODMAPs » ?
J’espère que la lecture de cet article intitulé « Qui a inventé le terme « FODMAPs » ? », vous aura apporté des réponses utiles pour découvrir le mode alimentaire pauvre en FODMAPs. Et je vous dis à très bientôt sur notre blog « la santé en mangeant ».
A très bientôt,Thierry KlethiLa santé en mangeant
QUI, QUOI, COMMENT LES FODMAPs
Notre quizz hebdomadaire sur les FODMAPs
Qu’est-ce ? Comment ? Pourquoi ?
Découvrez toutes les semaines un petit article pour répondre brièvement à une ou deux questions sur le mode alimentaire pauvre en FODMAPs. Je vous invite donc à découvrir notre (nos) nouvelle(s) question(s), passionnante(s) pour découvrir clairement et facilement les tenants et aboutissants du mode alimentaire pauvre en FODMAPs. Cliquez ici pour accéder au questionnaire qui vous permettra de déterminer si une alimentation pauvre en FODMAPs pouvait vous aider ? Non, je n’ai pas oublié mes bonnes manières. Par conséquent, je ne vous ferais pas l’affront d’omettre de vous saluer. Mais je voulais juste au préalable vous présenter brièvement l’objectif de ces petits articles. Mais trêve de bavardage, je vais poliment et avec beaucoup de joie de nous retrouver pour la lecture de cette publication vous saluer. Bonjour à toutes et tous,J’espère que vous vous portez pour le mieux. En ce qui me concerne, je me porte bien et je viens de publier ce nouvel article dans notre blog « la santé en mangeant » intitulé « Qui a inventé le terme « FODMAPs » ? ». Alors j’espère qu’il vous donnera des informations utiles pour découvrir le mode alimentaire pauvre en FODMAPs. Et je vous souhaite une bonne lecture, ainsi que de passer une excellente journée.
QUI A INVENTE LE TERME « FODMAPs » ?
L’acronyme FODMAPs a été inventé par la nutritionniste Australienne Sue SHEPHERD en 2005. Depuis cette date ce mode alimentaire est régulièrement prescrit par les gastro-entérologues Australiens. Il s’agit même d’un préalable pour toutes les personnes souffrantes de colite, avant toute prescription de médicaments !
En France.
Alors qu’en France, rare sont les médecins qui reconnaissent en avoir entendu parler. Et malgré ses excellents résultats pour améliorer nos conditions de vie, presque aucun vous le proposera ! Non, tous les soins doivent être médicamenteux ! On nous délivrera des médicaments contre les inflammations, contre les ballonnements et contre les crampes intestinales. Mais, l’influence de notre mode alimentaire, ne sera pas pris en compte pour nous proposer d’améliorer la situation. Tout au plus on nous dira de noter lors d’une crise les derniers aliments ingérés et d’éviter de les consommer car ils sont peut-être en cause dans le déclenchement de la crise…
Les Docteurs Jones et Hunter.
Publication dans la revue médicale The Lancet.
Les premières mentions et applications d’un mode alimentaire comparable au mode alimentaire pauvre en FODMAPs, c’est-à-dire sans fructose, sans sorbitol, sans produits laitiers animal et sans céréales pour améliorer la digestion remonte aux années 1980. Plus précisément en 1982 les Docteurs Jones et Hunter, gastro-entérologues américains de l’Hospital Addembrookes publiaient leurs résultats obtenus avec ce type de type d’alimentation dans la revue scientifique médicale britannique The Lancet.
Un mode alimentaire sans symptômes.
En effet, ils avaient découvert qu’en supprimant certains aliments de notre bol alimentaire, près de 70% des personnes atteintes d’un « côlon irritable » voient leurs symptômes diminuer. De plus si ces personnes maintiennent ces habitudes alimentaires, ils sont 90% à ne plus souffrir d’aucuns symptômes au bout de deux années.Cependant, s’ils arrêtent de respecter ces consignes alimentaires et recommencent à consommer les aliments supprimés, les symptômes reviennent.
Conclusion.
Ces deux médecins ont donc conclu que les personnes qui souffrent d’un côlon irritable sont hypersensibles à certains aliments. Et qu’il était préférable d’éviter qu’ils ne mangent les aliments non tolérés, plutôt que de leurs prescrire des traitements médicamenteux pour les aider à aller mieux.Cela peut nous paraître évident, mais dans le monde médical ce genre d’étude et de conclusions n’est acceptable ou accepté.Mon expérience personnelle.
Echanges avec les médecins.
De ce fait, je peux témoigner que même aujourd’hui, aucun des médecins que j’ai rencontré dans le cadre de mes problèmes digestifs, n’a souhaité évoquer ou me proposer cette méthode. La seule réponse que j’ai obtenue, c’est qu’ils ont de multiples médicaments à me proposer, qui seront à consommer à vie pour réduire les manifestations de ma pathologie digestive. L’alimentation avait selon eux peu ou aucune influence, car l’origine serait sans doute génétique. Et de ce fait mon système immunitaire serait programmé pour générer des ballonnements et ponctuellement sans raisons apparente des crises qui causent des inflammations importantes de mes intestins. La seule approche réaliste selon eux étant de consommer en permanence des corticoïdes pour limiter ces inflammations. Car sinon elles allaient forcément générer des lésions irréparables des tissus puis des cancers.
Ma conclusion.
En attendant, même si ce mode alimentaire restrictif ou d’autres sont efficaces et ont fait leurs preuves. Le monde médical Français, ne semble pas encore près à l’admettre et à en faire bénéficier leurs patients. Ou, alors je n’ai pas eu de chance et j’ai toujours rencontré les plus sceptiques ? Car je reconnais qu’il ne faut créer une généralité à partir de l’avis de quelques-uns.J’espère d’ailleurs que certains médecins informent et proposent à leurs patients, en plus du traitement médicamenteux, d’essayer d’appliquer ces consignes alimentaires pour améliorer leur santé. S’ils ont des résultats satisfaisants, ils seront ravis et sinon ils pourront l’oublier et continuer à s’alimenter comme la plupart des personnes et espérer ne pas avoir de crises. Mais ils auront au moins été informé de cette possibilité et le choix leurs aura été permis.
Autres travaux.
Depuis d’autres travaux ont été réalisés (essentiellement en Australie) pour améliorer l’efficacité de ce mode alimentaire basé sur l’éviction de certains aliments. Et l’on a notamment écarté les aliments riches en gluten et en FODMAPs chez des personnes souffrantes de troubles digestifs de type des colites. Les résultats obtenus ont démontré que leurs symptômes ont rapidement, considérablement régressés. De plus au bout d’une certaine période de rémission, ils ont réintroduit progressivement le gluten et les symptômes ne sont pas réapparus.RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES :


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Principes et fondements – Régime sans FODMAP – Quizz FODMAPs – Qui a inventé le terme « FODMAPs » ?
J’espère que la lecture de cet article intitulé « Qui a inventé le terme « FODMAPs » ? », vous aura apporté des réponses utiles pour découvrir le mode alimentaire pauvre en FODMAPs. Et je vous dis à très bientôt sur notre blog « la santé en mangeant ».
A très bientôt,Thierry KlethiLa santé en mangeant
QUI, QUOI, COMMENT LES FODMAPs
Notre quizz hebdomadaire sur les FODMAPs
Qu’est-ce ? Comment ? Pourquoi ?
Découvrez toutes les semaines un petit article pour répondre brièvement à une ou deux questions sur le mode alimentaire pauvre en FODMAPs. Je vous invite donc à découvrir notre (nos) nouvelle(s) question(s), passionnante(s) pour découvrir clairement et facilement les tenants et aboutissants du mode alimentaire pauvre en FODMAPs. Cliquez ici pour accéder au questionnaire qui vous permettra de déterminer si une alimentation pauvre en FODMAPs pouvait vous aider ? Non, je n’ai pas oublié mes bonnes manières. Par conséquent, je ne vous ferais pas l’affront d’omettre de vous saluer. Mais je voulais juste au préalable vous présenter brièvement l’objectif de ces petits articles. Mais trêve de bavardage, je vais poliment et avec beaucoup de joie de nous retrouver pour la lecture de cette publication vous saluer. Bonjour à toutes et tous,J’espère que vous vous portez pour le mieux. En ce qui me concerne, je me porte bien et je viens de publier ce nouvel article dans notre blog « la santé en mangeant » intitulé « Qui a inventé le terme « FODMAPs » ? ». Alors j’espère qu’il vous donnera des informations utiles pour découvrir le mode alimentaire pauvre en FODMAPs. Et je vous souhaite une bonne lecture, ainsi que de passer une excellente journée.
QUI A INVENTE LE TERME « FODMAPs » ?
L’acronyme FODMAPs a été inventé par la nutritionniste Australienne Sue SHEPHERD en 2005. Depuis cette date ce mode alimentaire est régulièrement prescrit par les gastro-entérologues Australiens. Il s’agit même d’un préalable pour toutes les personnes souffrantes de colite, avant toute prescription de médicaments !
En France.
Alors qu’en France, rare sont les médecins qui reconnaissent en avoir entendu parler. Et malgré ses excellents résultats pour améliorer nos conditions de vie, presque aucun vous le proposera ! Non, tous les soins doivent être médicamenteux ! On nous délivrera des médicaments contre les inflammations, contre les ballonnements et contre les crampes intestinales. Mais, l’influence de notre mode alimentaire, ne sera pas pris en compte pour nous proposer d’améliorer la situation. Tout au plus on nous dira de noter lors d’une crise les derniers aliments ingérés et d’éviter de les consommer car ils sont peut-être en cause dans le déclenchement de la crise…
Les Docteurs Jones et Hunter.
Publication dans la revue médicale The Lancet.
Les premières mentions et applications d’un mode alimentaire comparable au mode alimentaire pauvre en FODMAPs, c’est-à-dire sans fructose, sans sorbitol, sans produits laitiers animal et sans céréales pour améliorer la digestion remonte aux années 1980. Plus précisément en 1982 les Docteurs Jones et Hunter, gastro-entérologues américains de l’Hospital Addembrookes publiaient leurs résultats obtenus avec ce type de type d’alimentation dans la revue scientifique médicale britannique The Lancet.
Un mode alimentaire sans symptômes.
En effet, ils avaient découvert qu’en supprimant certains aliments de notre bol alimentaire, près de 70% des personnes atteintes d’un « côlon irritable » voient leurs symptômes diminuer. De plus si ces personnes maintiennent ces habitudes alimentaires, ils sont 90% à ne plus souffrir d’aucuns symptômes au bout de deux années.Cependant, s’ils arrêtent de respecter ces consignes alimentaires et recommencent à consommer les aliments supprimés, les symptômes reviennent.
Conclusion.
Ces deux médecins ont donc conclu que les personnes qui souffrent d’un côlon irritable sont hypersensibles à certains aliments. Et qu’il était préférable d’éviter qu’ils ne mangent les aliments non tolérés, plutôt que de leurs prescrire des traitements médicamenteux pour les aider à aller mieux.Cela peut nous paraître évident, mais dans le monde médical ce genre d’étude et de conclusions n’est acceptable ou accepté.Mon expérience personnelle.
Echanges avec les médecins.
De ce fait, je peux témoigner que même aujourd’hui, aucun des médecins que j’ai rencontré dans le cadre de mes problèmes digestifs, n’a souhaité évoquer ou me proposer cette méthode. La seule réponse que j’ai obtenue, c’est qu’ils ont de multiples médicaments à me proposer, qui seront à consommer à vie pour réduire les manifestations de ma pathologie digestive. L’alimentation avait selon eux peu ou aucune influence, car l’origine serait sans doute génétique. Et de ce fait mon système immunitaire serait programmé pour générer des ballonnements et ponctuellement sans raisons apparente des crises qui causent des inflammations importantes de mes intestins. La seule approche réaliste selon eux étant de consommer en permanence des corticoïdes pour limiter ces inflammations. Car sinon elles allaient forcément générer des lésions irréparables des tissus puis des cancers.
Ma conclusion.
En attendant, même si ce mode alimentaire restrictif ou d’autres sont efficaces et ont fait leurs preuves. Le monde médical Français, ne semble pas encore près à l’admettre et à en faire bénéficier leurs patients. Ou, alors je n’ai pas eu de chance et j’ai toujours rencontré les plus sceptiques ? Car je reconnais qu’il ne faut créer une généralité à partir de l’avis de quelques-uns.J’espère d’ailleurs que certains médecins informent et proposent à leurs patients, en plus du traitement médicamenteux, d’essayer d’appliquer ces consignes alimentaires pour améliorer leur santé. S’ils ont des résultats satisfaisants, ils seront ravis et sinon ils pourront l’oublier et continuer à s’alimenter comme la plupart des personnes et espérer ne pas avoir de crises. Mais ils auront au moins été informé de cette possibilité et le choix leurs aura été permis.
Autres travaux.
Depuis d’autres travaux ont été réalisés (essentiellement en Australie) pour améliorer l’efficacité de ce mode alimentaire basé sur l’éviction de certains aliments. Et l’on a notamment écarté les aliments riches en gluten et en FODMAPs chez des personnes souffrantes de troubles digestifs de type des colites. Les résultats obtenus ont démontré que leurs symptômes ont rapidement, considérablement régressés. De plus au bout d’une certaine période de rémission, ils ont réintroduit progressivement le gluten et les symptômes ne sont pas réapparus.RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES :

